Tabales Rodríguez, Miguel Ángel2018-07-272018-07-272018-07-17Gurriarán Daza, P. (2018). La arquitectura del poder en la frontera sur de Al-Andalus durante el califato de Córdoba.. (Tesis Doctoral Inédita). Universidad de Sevilla, Sevilla.https://hdl.handle.net/11441/77651La Alta Edad Media es un momento fundamental en la historia de la arquitectura y la construcción en el Mediterráneo Occidental. Tras la caída del Imperio Romano, el ciclo productivo de la cantería se extinguió en los territorios de Occidente, para ir recuperándose poco a poco varios siglos después, sobre todo a partir de la VIII-IX centuria. En la península ibérica, será la construcción por los omeyas de la primera fase de la Mezquita de Córdoba (786), el punto que represente la más clara presencia de canteros plenamente establecidos y la recuperación del trabajo de sillería a escuadra. Estos canteros trabajarán para este poderoso promotor hasta su extinción en el siglo XI, evolucionando la técnica y desarrollando sistemas y aparejos muy característicos. En un principio, estarán vinculados a obras oficiales en Córdoba, no obstante, su trabajo se identificará en proyectos puntuales emprendidos fuera de la capital. Esta tesis doctoral pretende investigar desde los principios de la Arqueología de la Arquitectura uno de esos grandes proyectos acometidos por los omeyas andalusíes, en el que los canteros cordobeses llevaron consigo su saber constructivo en piedra. En concreto, se trata de la fortificación de la costa mediterránea andaluza y magrebí durante el conflicto con el califato norteafricano de los fatimíes (siglo X). Los califas cordobeses no dudarán en enviar a sus mejores constructores a estas obras. Este trabajo estudiará de forma sistemática las construcciones oficiales de Tánger, Algeciras, Ceuta, Tarifa, Marbella o Almería, donde se han hallado vestigios arqueológicos de ese momento, intentando identificar las técnicas constructivas y poniéndolas en relación con las observadas en las grandes obras dinásticas omeyas. De este modo, se tratará de comprender la difusión del trabajo de estos canteros, así como su posible influencia en un territorio que aún no estaba preparado tecnológicamente para asimilar sillerías tan excepcionales. Por último, se investigarán las pautas constructivas asociadas a las edificaciones oficiales que son susceptibles de estudiarse como muestras propagandísticas de su promotor, como testimonio simbólico, en definitiva, del poder que las emana.L’Haut Moyen Âge est un moment crucial dans l’histoire de l'architecture et de la construction dans la Méditerranée Occidentale. Après la chute de l'Empire Romain, le cycle de production de la maçonnerie est fini dans les territoires de l'Ouest, d'aller lentement ramasser siècles plus tard, en particulier de la VIII-IX siècle. Dans la péninsule ibérique, la construction de la première phase de la Mosquée de Cordoue (786) pour les Omeyyades, c’est le point qui représente la plus importante présence de tailleurs de pierre pleinement établies et la récupération du travail de la maçonnerie orthogonal. Ces spécialistes travaillent avec ce promoteur puissant jusqu’à son extinction au XIe siècle, en développement des technologies et des systèmes très caractéristiques. Tout de suite, le travail de ces maçons sera lié à des œuvres officiels à Córdoba. Cependant, leur travail sera identifié sur des projets spécifiques réalisés à l'extérieur de la capitale. Cette thèse doctorale vise à étudier, d’après la Archéologie de l’Architecture, l'un des principaux projets entrepris par les Omeyyades de Cordoue, où les maçons portent leur technologie avec la pierre. Plus précisément, c’est la fortification de la côte méditerranéenne andalouse et d'Afrique du Nord pendant le conflit avec le califat d'Afrique du Nord des Fatimides (Xe siècle). Les califes Omeyyades envoient ses meilleurs constructeurs à ces œuvres. Ce document étudie systématiquement les défenses de Tanger, Algeciras, Ceuta, Tarifa, Marbella ou Almería, où on a trouvé des vestiges archéologiques de l'époque,et on essaye d'identifier les techniques de construction et sa relation avec celles observées dans les grands travaux dynastiques Omeyyades. Ainsi, nous allons essayer de comprendre la diffusion du travail de ces maçons et leur influence possible sur un territoire qui n’était pas encore prêt technologiquement à travailler la pierre si exceptionnellement. Enfin, on va étudier des systèmesconstructifs associés aux bâtiments officiels qui peuvent être analysées comme des échantillons de propagande de son promoteur, comme un témoignage symbolique du pouvoir qui émane.application/pdfspaAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 Internacionalhttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/info:eu-repo/semantics/doctoralThesisinfo:eu-repo/semantics/openAccess